Des cosmétiques plus "transparents" dans leurs compositions
Pour ceux qui me connaissent un peu, ils savent que je suis un peu réfractaire à me m’étaler du pétrole sur le visage tous les matins (bon, je caricature, mais c’est un peu ça quand même).
Pour celles qui comme moi, aiment et apprécient les cosmétos bios, je vais vous apprendre une bien bonne nouvelle que je viens de lire sur le site de Libération (l’article en entier en cliquant ici).
» Jusqu’à présent, la seule obligation pour les fabricants se résumait à indiquer sur l’emballage du produit la liste des ingrédients utilisés par ordre de poids décroissant.
Désormais, ils seront également obligés de répondre à toute demande de renseignements téléphonique, écrite ou sur Internet sur les effets indésirables, comme les réactions allergiques. »
« Les effets indésirables seront rendus publics – on entend par ce terme un « effet négatif sur la santé humaine qui résulte d’un usage normal ou raisonnable d’un produit cosmétique » -, comme les effets allergiques, l’acné cosmétique, les effets phototoxiques, la photosensibilité ou les démangeaisons.
Lorsqu’une substance « dangereuse » – explosive, oxydante, aisément inflammable, toxique, nocive, corrosive ou irritante – entre dans la composition d’un produit, cela devra être connu. »
Cela me rassure un peu puisque le projet de loi européen REACH est un ersatz de ce qu’il aurait du être au début (merci les lobbys des industries chimiques…) Ce qui me rassure moins ce sont les substances « dangereuses » dans certains cosmétos. En tout cas, y’a encore du chemin…