Fashion week Collette Dinningan…
Grâce à Rosalie, Dimanche en début d’après midi, j’ai pu aller vivre en direct et en vrai un défilé de mode : des gens qui vous placent, une tonne de photographes, une chouette bande son, et des mannequins très… grands.
J’ai vu la collection de Collette Dinningan : une créatrice archi connue en Australie et aux Etats Unis. J’ai vu Deux ou trois robes qui m’ont vraiment tapées dans l’oeil. Le prix d’un top tout simple sans broderie ni perles : plus ou moins 500 euros.
Photo piquée chez ALex
Grâce à Rosalie encore, on a pu aller jeter un coup d’oeil en backstage : champagne, portants de vêtements qu’on remballe rapidement, mannequins qui se rhabillent et s’en vont, en 10 minutes c’était plié. Ils ne restaient que la créatrice, ses copines australiennes et des coupes de champagne.Une expérience super intéressante au milieu d’un monde qui paraît extrêmement codifié : le placement des personnes invitées se fait selon des règles diplomatiques qui paraissent assez obscures, et des mannequins qui ne sont plus des femmes, qui deviennent des choses uniformisées pour ne plus devenir que des portes manteaux.
On est bien loin des années 90 avec les tops archi connues comme Evanglista (merci Nadège), Mulder, Bruni, Campbell ou leur personnalité devenait aussi importante que ce qu’elles portaient. J’ai d’ailleurs été un chouille perturbée par la maigreur de ces jeunes femmes. Certes pour certaines, ça paraissait presque « morphologique » mais pour d’autres aux os saillants, ça faisait vraiment jeune femme sous alimentée…
Ce qui m’interesserait en fait, c’est de voir la partie en amont : la partie conception et production. Peut être parce qu’avec une mère qui fut couturière dans sa prime jeunesse, les travaux d’aiguilles m’ont toujours fasciné. Et au vu de certaines maisons spécialisées dans la broderie, leur travail est souvent d’une véritable finesse.
En tout cas, merci Rosalie
Nadege
Il y a un peu plus de 10 ans, j’avais pu assister à des défilés de JPGaultier. Contrairement à toi, j’étais debout (car j’avais obtenu les invits en écrivant) et je ne suis pas allée backstage après. Mais rien que de là où j’étais, on sentait bien une certaine effervescence derrière !
PS : c’est Evangelista son pt’it à Linda ;-).
DislOck
j’aurais aimé y aller aussi
james | studiosushi
le temps des « supermodels » est bien révolu … vive les porte-manteaux formatés ? brrr
rosalie
…mais de rien
très belle note, ça m’a fait revivre l’ambiance de cette journée !!
bisous !